Sévère vengeance du coeur.

Le coeur en larme et l'esprit en déroute j'y était retourné, dans ce salon que j'avais longtemps délaissé.
Retourner au milieu de mes coussins et de mes pelottes, dans ce joyeux bazare où j'avais toujours pu trouver réconfort.
Si seulement..
Si seulement tout cela n'était pas si compliqué !

Pourquoi tant de larmes, tant de morceaux brisés pour cela ?

Tu ne connais pas le sens du mot amour.. Tu n'auras jamais le bonheur de le connaître...

C'était peut-être vrai.. mais ce n'était pas une raison ! Non pas une raison pour me le dire ainsi !
Et puis, que puis je y faire ?
Si je ne connais rien de l'amour, si je ne conçois que le bonheur sos ses différents angles ?
Pourquoi vouloir me béssée quand je ne suis pas ce qu'on attend de moi ?

Mes oreilles se baissent, mes mains se referment sur un coussin, le plaque contre mon ventre.
Pourquoi fallait il toujours que je sois signe de souffrance alors que je ne veux que faire le bien ?
Serais ce alors ma malédiction ?
Peut-être ne devrais je plus approche les hommes, c'est vrai, mes soeurs elles ne m'ont jamais bléssées ainsi, ne m'ont jamais fait mal comme cela.

J'ai peur..
Peur de moi,
Peur des autres,
Pourquoi les gens se laissent tomber si facilement des le premier obstacle ?
Pourquoi ne comprennent ils pas ?

Mon visage se crispe etre sanglot et cris de colère.

Pourquoi toujours revient elle cette morbide tristesse ?

Pourquoi toujours et encore souffrance...
une pauvre âmes tourmenté et peut-être brisé, elle avait souffert attrocement ces derniers temps, il la comprennait certe très bien.
Il avait ressentit la même chose à bien des reprises, mais cette fois, c'était différent...
elle remettait en cause pour la 1001e fois son approche des autres, comment il le savait? Il n'en avait aucune idées. Mais il le savait...

pénétrant la grande citadelle, l'ombre se laissa guidés... il ne pouvait ignorés l'appelle de cette femme dont il était profondément amoureux.
À gauche à droite, couloir par couloir, de son élégence féline habituel, héritage d'une défunte mère... il continua sa routes, rien ne pourrait l'arrêter, déterminer à mettre fin à cette tristesse, il monta finalement un grand escalier.. personne ne semblait avoir remarqués un pauvre petit félin. Alors qu'il voulut pousser les portes. 2 gardes lui bloquèrent l'entrée... il les ignora cependant il voulut prendre la poignée, quand aussi vif qu'une panthère, une l'attrapa par le bras, il recula. répétant une seconde fois que la princesse ne voulait pas de visiteurs... alors il plaça la main à la garde de son sabre, quand il lâcha finalement prise.. il ne voulait pas répendre le venin du sang ici. Alors, il resta aussi silencieux qu'une statue. Et réesseya sa chance.

Cette fois, quand les gardes voulurent l'intercepter, il était trop tard... il était déjà entrer dans le vaste salon, il continua de chercher sa cible, quand il finit par l'appercevoir, alors que les 2 gardes entrèrent, il fit signe de la main pour ne pas qu'elles parle, elle n'eurent finalement pas le choix de sortir,
quand ketsueki alla s'asseoir près d'elle sur un somptueux canapés, elle n'avait même pas remarqués sa présence, il en profita, il attrapa la tête de la féline, et l'étendit sur ses genoux... sans un mots, sans même son accord, il resta immobile, lui adressant un faible sourire. Il ouvrit finalement la bouche à quelque pouces de ces oreilles félines pour y murmurer des mots.

Je t'aimes, alors laisse moi partager tes peines et tes joies, je n'aimes pas te voir dans un états comme celui-ci, je vois que tu as le coeur en sanglots, et c'est aussi pareil pour moi à présent.
Explique moi ce qui ne vas pas, garder toujours tout pour soies est la plue terrible des souffrances, je suis une parties de ton coeur, alors fais moi confience...

Je t'aimes, alors laisse moi partager tes peines et tes joies, je n'aimes pas te voir dans un états comme celui-ci, je vois que tu as le coeur en sanglots, et c'est aussi pareil pour moi à présent.
Explique moi ce qui ne vas pas, garder toujours tout pour soies est la plue terrible des souffrances, je suis une parties de ton coeur, alors fais moi confience...

Une voie perce la muraille de mes sombres pensées.. une fois de plus je relève la tête pour voir le visage d'un félin..
Je le repousse avec violence, me redresse sur le moelleux de ce canapé rond.

Ne m'approche pas !
Je suis pire que la peste !
Je te détruirais !
Je ne veux pas que tu m'aimes ! Je ne veux pas !!
Si tu m'aimes je te ferais du mal !
Et tu te vengera ! Tu me fera mal à ton tour !
Je n veux pas que tu m'aimes ! Je ne veux plus avoir mal !

JE DETESTE LES MÂLES !!!!

Le hurlement autant animal que désespéré se finit par un sanglot ravalé à l'urgence.
Je perd équilibre, me laisse tomber sur ce qui me rattrapera, qu'importe si c'est le sol ou l'enfer.
La canapé rattrape ce corps en chute, je tourne la tête pour l'enfouir dans son confort insuportable à mes peines et mes pleures.
A quoi bon aimer, cela fait toujours plus de mal que de bien.
A quoi bon aimer si c'est pour bléssé ou être bléssé, pire.. oublié.

Elle lui hurla, elle était bien triste et il pouvait le comprendre... il la comprennait très bien, elle avait eut trop de calver dans sa vie, mais ce n'est pas en restant seul que tou s'arrangera... il s'approche d'elle, elle ne le voulait pas, mais il la releva.

Si tu ne veux pas que je t'approche, alors je serai un crimminel... tes soeurs pourront venir m'abbattre, parce que je ne suis qu'un mâle, mais je le suis pour toi... alors il y vas de tout ce que je ressens.

Et ne m'éloigne pas moi non plus!!! Tu crois pas que j'ai souffert moi aussi, je comprend ce que tu ressent moi aussi, alors calme toi, j'ai souffert parce que c'est toi même qui m'a envoyé baladé toutes ces fois!!! Tu ne veux plus me faire souffrir? et que fais-tu de ces fils rouges? Tu m'a répétés ces choses au moins 1 millions de fois et pourtant je suis toujours devant toi aujourd'hui.

Alors dit moi, pourquoi te ferais-je du mal quand je me tues autant pour te rendre heureuse? Hein.. pourquoi???

Il la relâcha, puis la regarda dans les yeux... il respira profondément pour ne pas se laisser emporter lui aussi... pour poursuivre en baissant les yeux

Tu n'imagines même pas le mal que tu peux ressentir quand la femme que tu aimes t'a abandonné... qu'elle essait de te détruire, et qye ty hésite à frapper... Ne dis même pas que tu ne comprend pas, tu sais mieux que personne le calver que j'ai ressentis. Je me suis demandé un jour même, à quoi bon aimer... pour continuer à souffrir. Ce jour même, une jeune femme m' racontés une histoire, des fils rouges reliant le coeur des gens... ils sont réels. Alors, je ne pense plus à hier, mais à ce que pourra être demain. Pour être près de la femme que j'aime...

Tirée de force, je regarde mes jambes repliées sur le canapé alors que Ketsueki parle, crie et hurle pour que je puisse enfin entendre..
Les oreilles baissées sur ma tête je ne veux pas, pas entendre parce que je sais bien que si j'entend je vais me laisser convaincre.
Et puis il y eut les fils rouges..

Lentement je relève les yeux sans redresser le menton, mn regard félin se fixent sur la silhouette de ketsueki les yeux baissés au sol.
Doucement ma tête se redresse, je n'ose pourtant rien répondre..
Quoi répondre ?
Je ne trouve pas la solution à mon problème..
Je ne pouvais rien dire, pourant j'aurais aimé.
Je souffre de ne pouvoir donner à tous sans recevoir un jour haine et colère.
On me voit monstruausité dans l'amour que je pense être juste.
J'aimerais me comprendre comme les autres me voient mais je ne peux pas.. ou plutot je ne veux pas.
Je sais.. que si je me voix par le regard de ceux qui ne sont pas satisfait alors je me détesterais bien plus qu'eux ne peuvent le ressentir.

Mon visage se baisse, je ne trouve pas de solution.
Je n'avais pas peur d'aimer avant.. maintenant rien que ce mot me fait fuir.. il me fait fuir dans ce que les autres y voit.
Je ne peux donner qu'à une personne quand bien d'autres ont besoin de moi..
Cela me tuera peut-être.. mais je ne vois pas d'autres voie.
Peut-être un jour mon coeur choisira, alors..
Alors il y aura une autre voie pour mon amour.

Doucement ma main se lève, hésite un bref instant avant de se poser sur celle de Ketsueki.

Des fils rouges... seront ils assez solides ?

Son regard se plongea dans l'ambre de ses yeux encore une fois, elle lui avait prit la main, mais elle hésitait, il le ressentait pleinement, elle avait terriblement peur, elle était destabilisé psychologiquement, elle ne comprennait plus rien... il referma sa main sur la sienne, l'approcha de ses lèvres et y porta un baisé.

je ressent ton doutes, je ne sais pas très bien pourquoi, mais je crois que j'ai tout de même un lien dans cette interrogation, tu sais, j'ai terriblement peur, peur de te perdre encore, peur de sombrer dans l'oublis, peur de ce que je serais sans toi... j'ai toujours peur. Mais je ne sais pas pourquoi, quand je suis près de toi, j'ai plus peur, je me sens heureux... je me sens revivre... et tu sais pourquoi? Je crois que c'est ces fils rouges qui me redonnent espoir, parce que je sais que même dans les ténèbres les plus profondes, ces fils qui relient nos coeurs me mènneront à toi...

Il se tut sur le coup, et dans le silence le plus total, s'étendit sur le lit de la féline... il réfléchit, sa main pourtant toujours dans la sienne, il fit le point, il cherchait surtout une manière qui pourrait redonner le sourire àla jeune femme quand il porta un regard à la bague que lui et elle portaient au doigt...

Tu sais, je ne suis pas à ta place, mais je me souviens, il y a très très très longtemp, j'ai fais une erreur, en voulant aller vers le futur, j'ai voulut oubliés le passé, mais c'était une erreur, parce que je viens de me souvenir de cette phrase, Je t'aime, mais je t'aime plus quand tu sourit. Tu te souvient de cette phrase??

Il prit la main de la jeune féline en plus, il voulut lui faire comprendre une chose, l'amour, elle pouvait très bien le comprendre, il placa sa main près de celle de la déline, montrant ainsi les 2 bagues dans leur splandeur, il garda ensuite silence... attendant une réaction de la jeune femme.

*Un rire aussi joliement mélodieux qu'evidemment mal venu.
Le bruit feutré de alons envolés qui tappent en rythme sur le moelleux des tapis.
Un visage qui se dessine, angeliquement blanc, diaboliquement enoutant.
Mais ce n'est pas en chasseuse d'âme que la jeune femme s'avance, non.. elle est venu chercher ce qui lui revient de droit.*

Il est temps de grandir, maintenant.

*Une main se lève, gracieusement porteuse de mort, se glisse dans la chevelure blanche de miss.
Un pas encore, la jeune femme se penche sur le visage d'un félin bien enfantin.*

Hum.. tu seras peut-être à mon goût un jour.

*Lui adresse un sourire satanique et moqueur, passe le dos de sa main sur sa joue, tentatrice de destin.*

Ne sois pas trop triste, mais je t'enlève ta belle pour une courte éternité..

*Se rapproche encore, un parfum de certitude au bord des lèvres couleurs de sang.*

Vois tu.. je suis la mort et la naissance.. et je viens pour celle que tu aimes et qui ne dois pas aimer.
Tu as bien failli me prendre de court tu sais.. je crois qu'elle aurait pu vraiment t'aimer..
Mais il est trop tard maintenant.. elle est mienne.

*Le murmure s'étend dans l'air avant de s'éteindre avec une douceur vaniteuse.
Enfin le regard vermeille se tourne sur les traits de la féline, princesse.. un sourire plus mielleux e glisse sur ses lèvres, alors que le bout de ses doigts dessine le contour du visage de l'enfant.*

Viens.. il est temps.

Il regarda la femme s'approcher de lui,
lui caresser une joue...
il ne comprit pas à l'instant la venue de cette femme soudaine, mais il l'écouta, sa voix était pourtant envoûtante...
il serait probablement tombé sous son charme,
si il n'était pas déjà fou amoureux... elle continua de parler, d'une voix cette dois mélodieuse,
elle lui dit qu'elle voulait emporter la féline loins de lui,
partir avec elle... Il resta immoblie, sans bouger... il n'avait pas tout de suites comprit,
il laissa son regard sang errer dans la pièce...
sans bouger un cil.
Puis, quand l'étrange femme blonde s'approcha de la féline,
ket ressentit comme une flemme brûler en lui, tellement de souvenirs déferlèrent dans sa tête... sans qu'il ne s'en rende compte, sa queue se balader dans tout les sens, ses oreilles se rabbatirent sur sa tête, ses griffes se refermèrent sur son grand chapeau japonais... alors, il était immobile, son kimono blanc déferlaient ses pétales de roses au vent.. quand la femme promnonça ses derniers mots... Un bruit retentit en éco dans toutes la pièce...

TAC

Le bruit d'un geta qui foulait maintenant le sol, toutes suites après ce simple son, le félin se retrouva entre les 2 femmes et frappa la main de la démone aux cheveux blond, pour qu'elle la retire.

Ne la touche pas... vipère... toujours la pour lui souffler ta haine et ta méchanceté... Un jour, mon sensei ma appris une chose... la philosophie de la liberté... Alors, je ne suis probablement trop faible pour te vaincre, mais je t'empêcherai de l'approcher, même si je dois y laisser ma vie... j'ai déjà laisser partir trop de choses essentiel dans ma vie, et cette fois ce sera différent.

Il tenait son sabre dans sa main, il le porta à son coeur avec son poingt.. et prononça ces derniers mots:

[b]Tu ne l'approchera pas, mon corp deviendra bouclier, et même si je dois y laisser la vie... à moins qu'elle ne le désire.

Redresse lentement la tête, tend un bra fin, referme la main sur la manche du kimono blanc.
Me lève doucement, écoute les battement sourd de ce coeur qui c'est tue si souvent.

Arrête.

Ma main se dessert alors que je passe devant lui, lui adresse un sourire désolé.. tourne la tête vers la jeune femme aux cheveux blancs..m'adresse pourtant au félin.

Je pars avec elle..

J'en ais besoin.

Mon regard se fixe sur la main de la jeune femme qui sourit toujours pareillement, je ne lui rend pas son sourire mais passe à côté d'elle, je ne m'arrête pas, avant de partir.. j'ai encore une chose à faire.

» Voleur du coeur des voleuses.
» Un petit coucou d'une ancienne voleuse de coeur!!