C'est un beau roman, c'est une belle histoire...

Il était une fois, une jeune femme enfermée dans un donjon gardé par plein de méchants mâles, mais elle possédait une arme dont les mâles sont dépourvus, l'intelligence... L'intelligence était une chose trés recherchée mais certain mâle en avait aussi. Lorsqu'un jour, un beau chevalier ( intelligent ) demanda l'ouverture du donjon pour pouvoir y aller. Il y trouva une fille de onze ans atteinte de la pneumonie. Ayant conscience (un rare) que la jeune fille risquait de périr, il la pris ne respectant pas certaines règles que le chef des barbares du lieu avait mis en place. Ainsi, il éveilla la fureur et le courroux des vilains mâles qui gardaient la jeune fille. Ceux ci bien mauvais déclencha leur prophétie. Celle-ci consistait à ce que leur bête qu'ils lâcheraient détruirait tout sur son passage. Plus grand qu'un dragon, aussi fort que 1000 hommes, ils convoquèrent leur mage maudit qui dit quelques paroles incompréhensible. Ce qui eu pour effet de faire trembler la terre. Une grande faille se fit à l'extérieur, juste derrière le chevalier et la jeune demoiselle. Une étrange bête commençait à en sortir. Elle était minuscule et elle avait l'air faible. Malgré sa petite taille, elle voulut affronter la bête mais soudain une deuxième bé-bête apparut derrière la première plus féroce, mais pas plus grande! Elles étaient la pour protéger la petite fille et le chevalier. Le 2 petites bêtes se mirent devant la grosse et commença à grogner. La grosse bête, qui ressemblait à une boule de morve avançait dans le plus grand plaisir d'éclabousser de son liquide visqueux tous ceux qui l'entourait. Les barbares étaient ahurie, voir même enjoué! Puis, de sa ''morve'' elle fondit sur le parquet. En effet, les deux petites bête venait de cracher une flamme atroce. Atroce, mais le tas de morve repris forme, laissant voir sa colère dans ses yeux mauves bonbon. La petite fille, à l'agonie mais imaginative lança :

- Pourquoi ne pas simplement partir, la bête semble simplement se protéger...

et ainsi, le chevalier pris la jeune princesse sur ses épaules et commença sa course. Comme si la petite était divine, la bête resta sur place, mais pas les lances barbariennes qui volaient vers eux. C'est ainsi qu'une des lance perfora le thorax du mâle qui tentai aussi bien que mal de sauver la petite. Il ne s'affaissa pas, mais il savais que s'il ne trouvait pas repos, sa vie le quitterai. Il mourrait avant d'avoir pu accomplir sa tâche, avant d'avoir pu sauvé celle qu'il aimait, à travers le temps, à travers l'espace. Il était, en réalité, malgré sa force et son courage, âgé de 15 ans. Paraissant grand, il avait bien vite gagné auprès de son royaume. Il avait pour but, de son unique but, retrouver celle qu'il aimait. Par contre, en ce jour, il pensait que la vie allait le quitter. Il revoyait en courant, le fil de sa vie, du moment où il aperçut pour la première fois la princesse. Il avait réussi à se glisser le jour de sa fête chez elle, lui offrant son coeur sans hésitation. Elle ne l'avait pas pris mais c'était tout comme, le jeune homme avait risqué sa vie pour elle et elle avait sauvé sa vie pour lui. Elle descendu ensuite de ses épaule et retira la lance en appuyant la paume sur sa blessure. Une lumière se dégagea de cette main chaleureuse qui eu pour effet de refermer la blessure du jeune homme.

Ce moment, il aurait pu être éternel. La main du jeune homme, caressa le visage de la princesse, son visage approcha du sien et leur yeux se refermèrent. Leurs lèvres se rencontrèrent et le baiser dura quelques minutes. Puis leurs yeux se perdirent au plus profond du regard de l'autre.

Soudain un hurlement de terreur arriva derrieree les deux tourteraux, un grand vilain tout pas beau venait d'apparaitre... un bon gros mâle bien de chez eux !

Il se dressait sur deux jambes, tenait une hache mal aiguisée, avait le torse d'un animal entre le taureau et le T-Rex et avancait de la manière la plus lourde qu'il fut possible de posséder.
Les dents en avant, le regard idiot caché sous des archades sourcilières proéminantes, il brandit sa hache.

- Hug Hug !!

L'homme fit face devant la ''bête'' tenant la lance que l'on venait de lui enlever dans ses mains. Il regardait sans baisser le regard dans les yeux de celui qui parraissait idiot, dans cet homme qui semblait sans compréention. La hache virvoltait dans les airs lorsque le chevalier lança la lance sur le projectile que venait de lancer la chose. Épée en main, il sauta sur cet être, mais fût arrêter par la princesse avant qu'il n'ai pu assainer le coup fatal.

- Ne... ne le tue pas.
= Mais.. pourquoi donc ma princesse?
- Car nous sommes tous égaux. Et il ne mérite pas de mourrir. Personne ne mérite la mort. Étant enfant, nul ne vien avec le mal en nous, l'on devient le mal. La plupart des hommes se perde avant de trouver la noble voie, celle que tu as entrepris. La minime parti la trouve et la suis. Tout dépend de comment nous avons vécut nos premères années. Nous naissons comme des pates et les influences qui nous entoure nous donne la forme que nous avons maintenant. Au fond de cet être vit du bon, il faut simplement le voir, et lui montrer malgré la difficulter. Les barbares sont têtu, les idiots comprennent lentement. Les avares sont à l'argent et les rusée on les croises pas. Celui-ci, malgré qu'il sois idiot, mérite que nous l'aidions.
= je.... oui.

La lame qui se trouvait sous la gorge de l'être gigantesque repris place dans le fourreau. L'être était effectivement idiot et compris mal ce geste. Essayant de s'exprimer pour prouver reconnaissance, la princesse [...]

Il était une fois, une jeune femme enfermée dans un donjon gardé par plein de méchants mâles, mais elle possédait une arme dont les mâles sont dépourvus, l'intelligence... L'intelligence était une chose trés recherchée mais certain mâle en avait aussi. Lorsqu'un jour, un beau chevalier ( intelligent ) demanda l'ouverture du donjon pour pouvoir y aller. Il y trouva une fille de onze ans atteinte de la pneumonie. Ayant conscience (un rare) que la jeune fille risquait de périr, il la pris ne respectant pas certaines règles que le chef des barbares du lieu avait mis en place. Ainsi, il éveilla la fureur et le courroux des vilains mâles qui gardaient la jeune fille. Ceux ci bien mauvais déclencha leur prophétie. Celle-ci consistait à ce que leur bête qu'ils lâcheraient détruirait tout sur son passage. Plus grand qu'un dragon, aussi fort que 1000 hommes, ils convoquèrent leur mage maudit qui dit quelques paroles incompréhensible. Ce qui eu pour effet de faire trembler la terre. Une grande faille se fit à l'extérieur, juste derrière le chevalier et la jeune demoiselle. Une étrange bête commençait à en sortir. Elle était minuscule et elle avait l'air faible. Malgré sa petite taille, elle voulut affronter la bête mais soudain une deuxième bé-bête apparut derrière la première plus féroce, mais pas plus grande! Elles étaient la pour protéger la petite fille et le chevalier. Le 2 petites bêtes se mirent devant la grosse et commença à grogner. La grosse bête, qui ressemblait à une boule de morve avançait dans le plus grand plaisir d'éclabousser de son liquide visqueux tous ceux qui l'entourait. Les barbares étaient ahurie, voir même enjoué! Puis, de sa ''morve'' elle fondit sur le parquet. En effet, les deux petites bête venait de cracher une flamme atroce. Atroce, mais le tas de morve repris forme, laissant voir sa colère dans ses yeux mauves bonbon. La petite fille, à l'agonie mais imaginative lança :

- Pourquoi ne pas simplement partir, la bête semble simplement se protéger...

et ainsi, le chevalier pris la jeune princesse sur ses épaules et commença sa course. Comme si la petite était divine, la bête resta sur place, mais pas les lances barbariennes qui volaient vers eux. C'est ainsi qu'une des lance perfora le thorax du mâle qui tentai aussi bien que mal de sauver la petite. Il ne s'affaissa pas, mais il savais que s'il ne trouvait pas repos, sa vie le quitterai. Il mourrait avant d'avoir pu accomplir sa tâche, avant d'avoir pu sauvé celle qu'il aimait, à travers le temps, à travers l'espace. Il était, en réalité, malgré sa force et son courage, âgé de 15 ans. Paraissant grand, il avait bien vite gagné auprès de son royaume. Il avait pour but, de son unique but, retrouver celle qu'il aimait. Par contre, en ce jour, il pensait que la vie allait le quitter. Il revoyait en courant, le fil de sa vie, du moment où il aperçut pour la première fois la princesse. Il avait réussi à se glisser le jour de sa fête chez elle, lui offrant son coeur sans hésitation. Elle ne l'avait pas pris mais c'était tout comme, le jeune homme avait risqué sa vie pour elle et elle avait sauvé sa vie pour lui. Elle descendu ensuite de ses épaule et retira la lance en appuyant la paume sur sa blessure. Une lumière se dégagea de cette main chaleureuse qui eu pour effet de refermer la blessure du jeune homme.

Ce moment, il aurait pu être éternel. La main du jeune homme, caressa le visage de la princesse, son visage approcha du sien et leur yeux se refermèrent. Leurs lèvres se rencontrèrent et le baiser dura quelques minutes. Puis leurs yeux se perdirent au plus profond du regard de l'autre.

Soudain un hurlement de terreur arriva derrieree les deux tourteraux, un grand vilain tout pas beau venait d'apparaitre... un bon gros mâle bien de chez eux !

Il se dressait sur deux jambes, tenait une hache mal aiguisée, avait le torse d'un animal entre le taureau et le T-Rex et avancait de la manière la plus lourde qu'il fut possible de posséder.
Les dents en avant, le regard idiot caché sous des archades sourcilières proéminantes, il brandit sa hache.
- Hug Hug !!

L'homme fit face devant la ''bête'' tenant la lance que l'on venait de lui enlever dans ses mains. Il regardait sans baisser le regard dans les yeux de celui qui parraissait idiot, dans cet homme qui semblait sans compréention. La hache virvoltait dans les airs lorsque le chevalier lança la lance sur le projectile que venait de lancer la chose. Épée en main, il sauta sur cet être, mais fût arrêter par la princesse avant qu'il n'ai pu assainer le coup fatal.

- Ne... ne le tue pas.
= Mais.. pourquoi donc ma princesse?- Car nous sommes tous égaux. Et il ne mérite pas de mourrir. Personne ne mérite la mort. Étant enfant, nul ne vien avec le mal en nous, l'on devient le mal. La plupart des hommes se perde avant de trouver la noble voie, celle que tu as entrepris. La minime parti la trouve et la suis. Tout dépend de comment nous avons vécut nos premères années. Nous naissons comme des pates et les influences qui nous entoure nous donne la forme que nous avons maintenant. Au fond de cet être vit du bon, il faut simplement le voir, et lui montrer malgré la difficulter. Les barbares sont têtu, les idiots comprennent lentement. Les avares sont à l'argent et les rusée on les croises pas. Celui-ci, malgré qu'il sois idiot, mérite que nous l'aidions.
= je.... oui.

La lame qui se trouvait sous la gorge de l'être gigantesque repris place dans le fourreau. L'être était effectivement idiot et compris mal ce geste. Essayant de s'exprimer pour prouver reconnaissance, la princesse prit une profonde inspiration après son discours qui l'avait épuisée, levant une main pour interompre le colosse.

Ne dit rien, aujourd'hui tu as une dette envers ma personne.
Pour la tenir tu dois me promettre d'apprendre à lire et à réfléchir ! Car ce sont deux matières qui forme l'intelligence la plus raisonnée et la plus belle de toute.
Aoprend et alors, devient le plus bon des hommes, alors, ta dette envers moi sera dispensée.

La princesse ayant parlé, elle se tourne vers le jeune homme, baisse la lance de ce dernier, lui prend la main, un sourire se reflete sur son visage, elle se détourne, et.. se prend les pieds dans..